Le 20 octobre 1914, remise de la médaille Militaire au drapeau des chasseurs à pied. A 14h.30 a lieu à Gouy-en-Gohelle, la remise au drapeau des chasseurs à pied de la médaille militaire par monsieur le Général de MAUD’HUY, commandant la 10ème Armée, en présence de messieurs les généraux commandant le 21ème corps et la 43ème division et de monsieur le colonel commandant la 86° brigade et des détachements représentant les 1er - 3ème - 10ème - 20ème - 21ème et 31ème bataillons de Chasseurs à pied. Le drapeau déployé arrive sur le terrain encadré par un peloton du 1er bataillon. Les généraux l'attendent, le cadre choisi pour la cérémonie accroît par sa note poétique, le caractère simple mais grandiose de la réserve. A ce moment, une salve de 21 coups de canon commence. On n'a pu mieux faire qu'en en confiant l'exécution à la batterie de 220 qui envoie ses projectiles sur les tranchées ennemies. Le drapeau placé au centre du rectangle formé par les troupes en ligne déployée, monsieur le colonel OLLERIS fait rendre les honneurs puis monsieur le général de MAUD’HUY prend à son commandement la "brigade de chasseurs" fait ouvrir le ban et s'avance, sabre à la main vers le drapeau. Il prononce la formule d'usage : «Au nom du président de la République; en vertu des pouvoirs qui me sont conférées, drapeau des Chasseurs à pied, je te décore de la médaille militaire». Puis il s'avance jusqu'au drapeau incliné et épingle avec émotion à la cravate du drapeau la médaille glorieuse. Il embrasse à deux reprises la soie tricolore et donne l'accolade au porte-drapeau. Après avoir fait fermer le ban, monsieur le général de MAUD’HUY se tourne vers la troupe et lui adresse les quelques mots suivants : «Chasseurs! C'est aujourd'hui pour vous un jour mémorable, seul jusqu'à ce jour, votre drapeau a été jugé digne de recevoir la médaille militaire. Soyez en fiers ! Soyez de plus assurés de la victoire. Vous êtes les dignes fils des héros de Sidi-Brahim et de Sébastopol ; bientôt on pourra dire que vous avez fait mieux que vos aînés ! Vous allez défiler devant le drapeau !».
Le drapeau des Chasseurs à pied, déjà décoré de la Légion d’honneur, a reçu la médaille Militaire qu’il est le seul drapeau de l’armée française à porter. Ceci à la suite de la prise du drapeau du 132e régiment Prussien par le 1er bataillon de Chasseurs au combat de Saint-Blaise (88), le 14 août dernier. La photographie ci-après représente l’unique et glorieux emblème de nos «Vitriers», entouré de l’état-major du 1er chasseurs, à qui la garde en a été confiée en récompense de ce faits d’armes. Sans pouvoir dire où la photographie a été prise, ce souvenir d’un intérêt tout particulier que notre drapeau déployait ses trois couleurs se passe sur le sol étranger . Nous pouvons ajouter que, depuis cette date, le bataillon qui garde le drapeau des chasseurs à pied l’a vaillamment gardé.
En 1913, la menace d’un conflit avec l’Empire allemand se fait ressentir de plus en plus. Des communes proches de la frontière se voient ainsi dotée de casernes formant une garnison prête à intervenir. Comme Baccarat, Senones et Saint-Dié, dès 1890 Raon-l’Etape s'affecte un quartier. Celui-ci est construit en sortie du bourg, sur la route qui mène en direction de Celles-sur-Plaine (88) et du Donon d'où le nom actuelle : avenue du 21ème B.C.P.
Il n’est pas encore terminée lorsque le 10 octobre 1913, la majeure partie du contingent des "Diables Bleus" du 21ème B.C.P. arrivant de Montbéliard (25), commandant Rauch en tête, sont accueillis par une foule de Raonnais en liesse. Jusqu'en date du 31 juillet 1914, ces militaires logeront dans cette caserne nommée "Dutertre". Néanmoins, le bataillon maintient un dépôt à Montbéliard puis ultérieurement à Langres (52), Rolampont et Clermont-Ferrand.
Son appellation remonte en 1855 à la date de sa création le 28 septembre à METZ (57).
Il a pour refrain : « En voulez-vous des kilomètres, en voilà (bis) ».
également : "Le vingt et unième bataillon n'a pas peur (bis) !"
autre : "Toutes les fois que j'tai baisée, j'tai payée (bis) !"
Chronologie
1856 Dissolution
1870 Recréation à Saint-Denis
1870-71 Guerre franco-allemande (défense de Paris : Bonneuil, Châtillon, Villejuif, Bas-Meudon,, Créteil, l’Hay les Roses, Le Bourget)
1871-73 Algérie (Oued-Ghir, col des Béni-Aïcha, Aïn el Arba, Soul el Khémis, Aguemoun, Bougie, col de Tirourda)
1914 Vosges (Le Donon, Badonviller, Laneuveville lès Raon, La Chipotte, la Marne (Mailly, Sompuy, Souain), Artois (Notre Dame de Lorette)
1916 Verdun (Souville, Douaumont), Champagne (Tahure), Somme (Deniécourt, Genermont)
1917 Aisne, Chemin des Dames, Vosges (Hilsenfirst)
1918 Alsace (Hartmannswillerkopf, Champagne (Les Wacques, Orfeuil), Hunding Stellung, Les Ardennes (Mézières)
1920-23 Lituanie (Memel)
1923 Dissolution
1939 Mobilisation au fort Lomond
1939-40 Haute Alsace et secteur fortifié de Montbéliard
1940 Sarre, Lorraine (Lunéville), l’Aisne puis repli sur Saint Amand Montrond et Clermont Ferrand
1940 Dissolution
1959 Recréation à Granville à partir du centre d’instruction de la 3ème demi-brigade
1963 Dissolution
Durant toute la première guerre, le bataillon fait partie du :
21ème corps d’Armée
13ème division d'Infanterie (d’août 1914 à 1918)
25ème brigade d’Infanterie
Il ne quitte cette garnison de RAON L’ETAPE (88) que le 29 juillet 1914 afin de prendre à CELLES-sur-PLAINE (88), un dispositif de couverture contre une attaque brusquée des Allemands dans la vallée de la Plaine. Le 13 août de la même année, il reçoit l’ordre tant attendu de se porter en avant et le 14, il monte à l’assaut du Donon.
Le 21ème bataillon de Chasseurs à pied obtient le 4 août 1918, la fourragère jaune et verte aux couleurs de la médaille militaire et 4 citations à l’ordre de l’Armée lui seront décernées.
Par la suite, le 5 mai 1916, c’est le 229ème régiment d’Infanterie commandé par le lieutenant-colonel GALBRÜNER qui remplacera le 21ème B.C.P. et occupera les casernes .
Drapeau du régiment
Comme tous les autres bataillons de chasseurs ou groupes de chasseurs, il ne dispose pas de son propre drapeau. Il n'existe qu'un seul drapeau pour tous les Bataillons de Chasseurs à Pied, et de Chasseurs Alpins, lequel passe d'un bataillon à un autre durant la campagne 1914-1918. En revanche chaque bataillon possède son propre
Le Fanion du Bataillon
Carré d'étamine de 0,50 m de côté, coupé diagonalement à partir du haut du bâton, triangle inférieur bleu foncé, triangle supérieur jonquille. Le Cor de chasse encadre le numéro du bataillon.
Citations du Bataillon
Ordre Général N°239 du 1 novembre 1916 - Citation à l'ordre de la Xe Armée - 2e palme.
Fourragère aux couleurs de la Croix de guerre.
Ordre Général N°529 du 13 novembre 1917 - Citation à l'ordre de la VIe Armée - 3e palme.
Ordre Général N°1332 du 8 août 1918 - Citation à l'ordre de la IVe Armée - 4e palme.
Fourragère aux couleurs de la Médaille militaire.
1870: Commandant PALACH
1871: Commandant GALLIMARD
1878: Commandant SONNOIS
1882: Commandant MOUTON
1883: Commandant PITOIS
1885: Commandant OUDARD
1890: Commandant BILLET
1896: Commandant CHEVALIER
1899: Commandant TIXIER
1914: Commandant RAUCH[4]
1915
15 mai: Commandant MARQUÉZY.
Nuit du du 27 au 28 septembre: le Commandant MARQUÉZY René est mortellement blessé en première ligne. Il meurt à Houdain le 30 septembre.
28 septembre: Capitaine KUNTZMANN - blessé le 10 mai 1915.
1915: Commandant CRAPLET
1916: Commandant DE WITKOWSKI
1917: Commandant ARNOULD
1918: Commandant BURTAIRE
1920: Commandant GUILLAUD
1922: Commandant THIBEAUD. Il remplace le Lieutenant-colonel GUILLAUD, muté, et qui rentre en France en juillet
1938: Commandant BELOT, venant du 35e RI
1939
24 septembre: Capitaine MONTEUX (commandant provisoire jusqu'au 5 octobre)
5 octobre: Commandant BELOT
16 novembre: Commandant BÉZÉGHER
13 mai: Capitaine LÉTANG
1940: Capitaine LÉTANG jusqu'à l'armistice et l'intégrations du reste de Bataillon dans le 152eRI à Clermont-Ferrand
Historique
Le Second Empire et la IIIeRépublique
1871: Le 21e Bataillon de Chasseurs à Pied est dirigé sur l'Algérie dans la province de Constantine. Il participe avec les 23e et 27e Bataillons aux combats contre l'insurrection
Il s'illustre sur l'Oued Ghir, au col des Beni-Äicha, à Ain el Arba, à Flisset el Bahar, chez les Beni Fraoulen, à Souk el Khemis, à Aguemoun, chez les Beni Raten, à Bougie au col de Tirourda.
1895-1896: Madagascar - un détachement de 27 hommes.
La Première Guerre mondiale
Affectation:
1914: 25e Brigade d'Infanterie - 13e Division d'Infanterie -
21e Corps d'ArméeA la 13e Division d'infanterie d'août 1914 à novembre 1918 - ID 13/13e DI à partir de décembre 1916.1914
Août: Opérations des Ire et IIe Armées.
Opérations de Couverture: Badonviller, 14 août prise du Donon organisation de la défense. Patrouilles en territoires ennemis.
Offensive des VIe et VIIe Armée allemande.(21 août).
20 & 21 août: bataille du Donon et du Petit Donon. Pertes très lourdes.
Retraite des Ie et IIe Armée française. Batailles de la Meurthe et de la Trouée de Charmes.
25 août: Défense des ponts de la Meurthe, La Neuveville, Col de la Chipotte.
8-14Septembre: Prend part à la Bataille de la La Marne, camp de Mailly, Ferme de Montmarin, Signal de l'Ormet.
15-21 Septembre: Sompuis, Suippes, Souain.
1er octobre: transport par V.F. dans la région de Lille
6-30 Octobre: l'Artois, secteur de l'Arbre de Condé, Bully, , Liévin, Angres, la Fosse Calonne.
Novembre: Repos. l'Artois, secteur de Notre-Dame-de-Lorette.
Décembre:
1er- 9 Décembre: séjour au cantonnement. Aix-Noulette
Offensive de la Xe Armée en Artois: attaque du Bois Boche, Lorette (17-18 décembre)
Bois Boche, Aix-Noulette
1915
21 mars: participe à la formation d'un bataillon de marche, le 107e BCP à Dagneux.
mai: 2e Bataille d'Artois.
9 mai: offensive générale, prise de la crête de Lorette, sape 5, sape 7. le Bataillon perd les 3/4 de son effectif. (citation)
juin:
16-18 juin: Cimetière de Souchez. Attaque du chemin Ablain - Angres
Septembre: 3e Bataille d'Artois
25 septembre: Offensive de la Xe Armée. Bois de Givenchy, Givenchy-en-Gohelle, Souchez, Bois en Hache. Le commandant Marquézy est blessé mortellement
octobre: Souchez, Bois en Hache.
novembre-décembre : Souchez, Bois en Hache.
1916
22 Février - 7 mars: garde d'Honneur au G.Q.G. de Chantilly.
28 février: déplacement de Chantilly à Revigny. Bataille de Verdun,Eix
7 mars: Douaumont, Fort de Souville.
avril - Juillet: Travaux secteur de Tahure.
juillet:Bataille de la Somme'.
Secteur d'Estrées, Deniécourt, Ablaincourt.
juillet - septembre: sucrerie de Génermont.
octobre - décembre: repos et travaux secteur de Belfort.
1917
janvier - mars: Repos, travaux défensifs dans le secteur de Belfort.
avril: Embarquement direction l'Aisne - Offensive de l'Aisne.
16 avril: le Chemin des Dames: secteur Bessy, moulin de Laffaux
mai - juin: Repos
21 août: le bataillon est ramené à l'arrière - période d'instruction.
octobre: Bataille de la Malmaison, ravin du Grand-Vivier.
23 - 25 octobre: la 13e Division d'infanterie. attaque avec des chars.
novembre: Occupation secteur Vosges Hilsenfirst, Hartmannswillerkopf patrouilles et coups de main.
décembre: Secteur Vosges.
1918
Janvier - Mai: secteur Vosges.
25 mai: embarquement pour la Marne. Troisième bataille de l'Aine
Défense de la Vesle, Courlandon, ferme de la Cense, vallée de l'Unchair, Fismes.
Route de Lehry - Cœmy
Juin - septembre: Champagne. Occupation du secteur des Wacques, Perthes.
Septembre:
25 septembre: offensive de Champagne.
Secteur Somme-Py, Orfeuil, Mont Muret.
Octobre - novembre: En réserve région de Reims.
Novembre: Ardennes
Conquête de la Hundling-Stellung, saint-Germainmont, cote 156. Mézières.
Entre deux guerres
1919: garnison en 1919 à Rambervillers.
1920:ordre d'aller occuper le territoire de Memel (Prusse orientale). Départ du bataillon par voie ferrée, les 7, 8 & 9 février 1920.
20 août-15 septembre: les 1e et 2e compagnies partent renforcer le 10e BCP avec la division navale alliée allant à Dantzig.
1921: relève de la classe 1919. Le bataillon est fortement réduit (250 hommes).
1922: tension avec la Lithuanie.
1923: bruits d'attaque par les Lithuaniens.
11-15 janvier: attaque de Memel par les Lithuaniens.
15 janvier: le Haut-commissaire, au nom de la conférence des Ambassadeurs ordonne la cessation des combats. La tension demeurera vive jusqu'à la fin de l'occupation française.
avril: retour en France du Bataillon.
Seconde Guerre mondiale
1939
Mobilisation et Séjour à la frontière suisse.
15 août - 5 octobre: Cantonnement à la frontière suisse, région Indevillers - Chauvilliers, dans la grande boucle sud du doubs
5 octobre: Embarquement par voie ferrée du bataillon qui gagne la Haute Alsace. Retrouve le 61e Bataillon de Chasseurs à Pied
Séjour en Haute Alsace
10 octobre: Occupation de l'usine Hydroélectrique de Kembs en rive gauche du Rhin
29 novembre: Relève du bataillon qui gagne Ranspach-le-Haut. Période d'instruction.
10 décembre: Quartier du Bataillon à Buschwiller et Hegenheim. Face à la Suisse.
1940
23 janvier: Garde du PC de la VIIIe Armée à Giromagny.
5 Février: Embarquement à destination du Front de la Sarre le bataillon relève le 16e Bataillon de Chasseurs à Pied
Front de la Sarre
8 février: Débarquement à Lening (Région de Morhange(57) cantonnement à Hellimer et Diffenbach
9 février: Cantonnement à Diebling et Metzing
22 février: Premières pertes du bataillon suite au bombardement ennemi
6 mars: le bataillon relève le 2e Bataillon de Chasseurs à Pied aux avant-postes
19 mars: Départ du bataillon pour Lunéville
Campagne de France(14 mai - 4 juillet 1940)
Combats sur l'Aisne (17 mai - 10 juin)
La Retraite (11 juin - 25 juin)
De 1945 à aujourd'hui
1959: Recréation du Bataillon à Granville. Centre d'instruction.
1963: Dissolution du 21e Bataillon de chasseurs à pied.
Personnalités ayant servi au 21e BCP
René Chavannes: l'un des plus jeunes soldats de la guerre. Orphelin, rejoint le 21e BCP à l'âge de 14 ans avec le consentement de sa tante et l'autorisation de l'autorité militaire. Citations, Croix de Guerre.
Notes & références
In Historique des Corps de troupe de l'Armée Française (1569-1900), P.402, publié par les soins du Ministère de la Guerre, Berger-Levrault, 1900,
Décret du 20 novembre 1870
Capitaine au 7e BCA tué au combat de la Sidi-Brahim (décapité) le 26 septembre 1843.
Nommé Lieutenant-colonel le Commandant RAUCH quitte le Bataillon pour prendre le commandement du 125e RI
« Ferme des Monts Marains » in La Bataille de la Marne, (Gabriel Hanotaux),Plon, 1922, Tome II, carte p.184-185,lien
Le 21e bataillon de chasseurs à pied, en raison de sa brillante conduite à l'attaque de la Chapelle de Notre-Dame-de-Lorette en mai dernier, est désigné pour assurer le service de garde d'honneur au G.Q.G. du 22 février au 12 mars 1916.
Il décède le 30 septembre à Houdain. le Capitaine Kuntzmann prend momentanément le commandement du bataillon.
Détaché de l'Allemagne en execution de l'article 99 du Traité de Versailles.
D'une surface de 4500 km2, bordé à l'est par la Lithuanie, au sud par le Niémen. La ville de Memel se trouve au bord du Kurisches Haff, face à la mer Baltique
«...elle vous prie de remercier en son nom les troupes d'occupation qui ont accompli leur devoir avec une valeur exceptionnelle. référence, citation ou lien ».
Campagne 1914-1918, Historique du 21e Bataillon de chasseurs à pied , Librairie Chapelot, 136, Bd Saint-Germain, Paris, Imprimerie Réunies de Nancy, s.d., 57 p.
Bézhéger (général) , Historique du 21e Bataillon de chasseurs à pied - (1855 - 1940), Imprimerie admistrative, 1952, 74 p.
Yvick Herniou & Éric Labayle, Répertoire des corps de troupe de l'armée française pendant la grande guerre, Tome 2, Chasseurs à pied, alpins et cyclistes, Unités d'active de réserve et de territoriale, Éditions Claude Bonnaud, Château-Thierry, 2007, 446 p., broché 14x24 (ISBN 978-2-9519001-2-7)
Revue historique de l'armée française, Numéro spécial N°2, Les Chasseurs à pied, Paris, 1966, 196 p.
JMO - Journal de Marche et des Opérations du 21e BCP, document du Service Historique de l'Armée de Terre (S.H.A.T.), pages de août 1914 à janvier 1916.
Ministère de la Guerre, Historiques des Corps de Troupe de l'armée française 1569-1900, Berger-Levrault & Cie Éditeurs, Paris, 1900, relié cuir 28,5 X 18,5 cm, 782 p.
Andolenko (Général), recueils d'historiques de l'infanterie française, 2e édition 1969, Eurimprim éditeurs, Paris, Imprimerie de Clairvivre Dordogne, relié 31,5 x 23,5 cm, 413 p.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire